Ce site dédié au PSG essaye d'être objectif dans ses articles et propose l'ensemble de l'actualité du club du PSG grâce à une sélection des meilleurs informations à propos du club. Pour plus d'informations, allez sur:
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Il est important dans le domaine du emarketing de savoir parler anglais et de maitriser les bases du vocabulaire "online".
Voici un site internet qui propose des cours d'anglais à travers des fiches de grammaire, de conjugaison mais aussi de vocabulaire avec des fiches consacrées au marketing et au emarketing. Nous vous conseillons d'y jeter un oeil de temps en temps, ce site est très pratique et dispose de nombreuses fiches très bien détaillées.
95% des joueurs utilisent youtube pour s informer sur les jeux vidéos
Les abonnés aux chaines de jeux vidéos regardent deux fois plus les vidéos que les non abonnés, en véritable passionnés.
Les type de vidéos les plus regardées sont:
-> avant la sortie: trailers, démos de gameplay. Ces vidéos sont majoritairement consultées sur ordinateur.
-> après la sortie: vidéos de solutions, walkthrough, vidéos faites par la communauté...Ces vidéos sont majoritairement consultées sur téléphones / tablettes.
En 2012, une vidéo sur 3 a été vues sur un téléphone ou une tablette.
L'influenceur des youtubers n'est donc pas négligeable car elle représente en générale 50% des vues pour un jeu vidéo.
-> les vidéos les plus partagées: critiques, démos de gameplay, trailers…
-> les vidéos ayant le plus de "j'aime" ou "j'aime pas": vidéos de tutoriaux et vidéos de solution
Apple et google n'ont qu'à bien se tenir… La startup orchestra a lancé début 2013 son application de gestion d'emails. Pour le moment disponible seulement sur IOS, et également seulement pour gmail mais d'autres servers de messagerie seront bientôt ajoutés.
Les plus ?
Les développeurs de Mailbox ont repensé complètement les fonctionnalités des boites mail, il est alors plus facile d'archiver, supprimer, classer ses emails ou même de disposer dune "to do list" intégrée. L'application tend à utiliser pleinement les possibilités des smartphones en terme de navigation pour faciliter l'utilisation de ses comptes emails et intègre également une interface qui se rapproche au mieux dune conversation "chat" dans la présentation des conversations.
Les Limites ?
Pour le moment uniquement sur gmail, uniquement en anglais, et uniquement sur IOS, il reste du travail à la startup pour son petit bébé. Pour le moment, il ny a pas de volonté particulière de sattaquer aux mails pro dans la mesure ou les mails transitent par les serveurs d' orchestra.
- L’Orgueil : accorder toute son attention au lustre et au clinquant d’un site Web, au détriment de l’expérience utilisateur.
- La Paresse : Choisir la facilité pour générer du trafic, privilégier l’achat de mots clés sur Google en négligeant le référencement naturel de son site. Ne pas se préoccuper de l’évolution des nouvelles fonctionnalités de Google (suggestions, géolocalisation, recherche universelle…) ou du “Social Media Optimization” c’est-à-dire l’impact des médias sociaux dans son référencement.
- La Luxure : acheter du trafic au prix fort en oubliant de mettre en place des générateurs de leads (newsletters, blogs, affiliation…)
- L’Envie : essayer de proposer des offres ciblées mais ne pas le faire faute de temps, mais surtout par manque d’outils et de méthode…
- La Colère : s’énerver contre son tableur Excel ou ses présentations PowerPoint au lieu d’utiliser des outils de scoring comportemental, de Web Analytics… qui simplifient le travail d’analyse et aident la prise de décision.
- L’Avarice : Obnubilé par l’acquisition de trafic, ne pas se préoccuper assez de la fidélisation et de l’exploitation de sa base prospects et clients…
- La Gourmandise : monétiser son audience ou ses bases e-mails dans une logique de rentabilité à très court terme
Un site de cashback est un site qui propose à ses membres de bénéficier d’une réduction sous forme de reversements de crédits monétaires lorsqu’ils achètent sur les sites marchands partenaires du site de cashback. Il s’agit de reverser aux acheteurs une partie d’un prix d’achat initial.
La rétro-commission versée sur le compte du membre est souvent de l’ordre de 2 à 5 % du montant de l’achat. Lorsque le crédit atteint un seuil défini, le membre peut demander un versement sur son compte bancaire ou l’envoi d’un chèque.
Un site de cashback peut compter plusieurs centaines de sites marchands partenaires et plusieurs centaines de milliers de membres.
Le modèle économique d’un site de cashback est basé sur l’affiliation, le site de cashback adhère (avec souvent des conditions particulières au vu des volumes générés) aux programmes d’affiliation des sites marchands partenaires. Lorsqu’un membre du site de cashback achète sur un site partenaire, cela génère une commission d’affiliation pour le site de cashback. Celui-ci reverse alors une partie variable de cette commission à son membre.
Le site de cashback est donc un intermédiaire entre les internautes et les sites marchands permettant de générer du traffic supplémentaire sur les sites marchands grâce à des offres promotionnelles. Citons deux exemples :
- un site de cashback dans le domaine du poker en ligne par exemple, va rémunérer ses utilisateurs de la façon suivante. L’utilisateur s’inscrit sur le site de poker via le site de cashback. Ensuite, le site de cashback va rémunérer l’utilisateur sur une partie des gains du site de poker. Les gains du site de poker étant la commission prise sur chaque partie jouée par les utilisateurs, grâce au site de cashback, les utilisateurs recevront une partie de cette comission en cashback.
- Un site de cashback dans le domaine de l’electronique va proposer à ses utilisateurs une réduction de 5% sur le prix d’achat d’un produit sur un site marchand. C’est en quelque sorte une réduction particulière.
Le terme cashback peut également désigner une autre technique promotionnelle utilisée parfois dans le domaine des biens d’équipement de la maison et par laquelle une enseigne s’engage à rembourser intégralement après quelques années le prix d’achat d’un produit aux consommateurs qui viennent en acheter un autre en rapportant le produit initialement acheté ou un justificatif.
Les campagnes incentivées sont de plus en plus utilisées par de nombreux acteurs de la publicité en ligne. Il convient alors de bien définir les différentes campagnes présentes:
Campagnes PTC :
Une campagne « PTC » est une campagne ou les utilisateurs sont payés pour cliquer. Le terme PTC vient de l’anglais « Pay to clic ». En échange des clics, les utilisateurs reçoivent des points ou de l’argent. Pour éviter les abus, il est habituel d’utiliser un timer de quelques secondes pour la validation du clic.
Campagnes PTR :
Une campagne « PTR » est une campagne ou les utilisateurs sont payés pour lire des emails par exemple. Le terme PTR vient de l’angalsi « Pay to read ». Ces campagnes peuvent être couplées avec un système de « PTC ».
Campagnes PTS :
Une campagne « PTS » est une campagne ou les utilisateurs sont payés pour s’inscrire. Le terme « PTS » vient de l’anglais « Pay to subscribe ». Ces campagnes peuvent être jumelées avec des campagnes PTC ou PTP. Il y a ici tout un parcours ou l’utilisateur est rémuné, à la fois pour cliquer sur une bannière par exemple, mais également pour aller s’inscrire sur le site de redirection de cette même bannière. Les utilisateurs peuvent être rémunérés par de l'argent virtuel par exemple sur des sites de jeux en ligne.
Campagnes PTP :
Les campagnes « PTP » sont des campagnes ou les utilisateurs sont payés pour promouvoir une page ou une bannière sur un site web. Pour cela, vous devez emmagasiner un maximum de visites sur vos pages ou vos bannières, ce qui vous permettra de gagner des points.
Les PTP sont des sites qui vous rémunères pour promouvoir, une page, une bannière, etc. Vous devrez emmagasiner un maximum de visites sur vos pages ou bannière, ce qui vous permettra de gagner des points. Ces points seront enfin traduits par un certain taux fixé par le site (ce taux étant variable de période en période).
Pour tous ceux qui sont de grands débutants dans ce domaine, voici un petit site qui peut aider pas mal de monde. Des fiches de vocabulaire et de grammaire, des vidéos explicatives, mais aussi des fiches thématiques sur des sujets spécifiques comme le marketing.
Petit rappel de ce qu’est un taux de clic (CTR) : il est égal au nombre de clics divisé par le nombre de fois ou la publicité est affichée (impressions).
Au troisième trimestre 2010, le fameux réseau social a affiché près de 20% des publicités internet selon une étude Comscore. Pour tout annonceur, il convient donc de s’intéresser aux taux de clic de ces publicités afin de maximiser le volume potentiel d’affichage de chaque publicité.
Si Facebook parvient à attirer autant d’annonceurs, il convient néanmoins de signaler que les taux de clic sont très largement plus faible sur facebook que par exemple sur google. On parle d’un rapport de 1 à 7 environ, avec un taux de clic moyen de 0,08% sur facebook contre 0,50% sur google. Le potentiel d’affichage reste tout de même très important et cela explique l’importance de facebook dans une stratégie de communication sur Internet malgré ces taux de clic assez faible.
Au cours de l’année 2011, le CPM a augmenté de 43% et le cpc de 23%. On explique ce phénomène par un nombre croissant d’annonceurs (dans l’ordre, le retail, les biens de consommation et la finance) mais également avec le passage des publicités facebook de 6 à 7. Avec de telles augmentations, il devient indispensable de bien gérer ses taux de clics.
Mais alors comment optimiser ces taux de clic sur Facebook ?
Opter pour une diffusion en fin de semaine
Pour les annonceurs qui connaissent des difficultés à générer du volume sur facebook taux de clic faible et pas de possibilité d’augmenter les CPC), une des solutions est de diffuser les publicités sur la fin de semaine, à savoir les vendredi, samedi et dimanche, avec un pic le samedi.
Deux raisons expliquent cela : la première c’est que en semaine, avec un trafic très élevé et un nombre d’annonceurs stable, la fréquence d’affichages augmente et donc le taux de clic est plus faible. La deuxième vient de l’usage même des utilisateurs. En semaine, de nombreux utilisateurs sont au travail, et donc ne se concentrent que sur leurs murs d’information (news feed), alors que le week end, on a plus de temps et donc on est plus susceptible de cliquer sur une annonce publictaire.
L’importance des balises « Open Graph »
Que ce soit pour vos propre posts sur votre page fan ou bien pour les liens postés par de simples utilisateurs sur leurs propres pages facebook, l’utilisation des balises « Open Graph » permet une forte augmentation des taux de clic (entre 200 et 300%) grâce à une présentation optimisée des liens et donc des produits ou services présents sur votre site Web. Des études démontrent que en comparaison avec les taux de clic des « facebook ads » (aux alentours de 0,08%), les taux de clics des liens sur une page fan sont en moyenne de 0,45%. On retrouve ici des stats semblables au réseau adsense, et donc il est intéressant de maximiser ses résultats en proposant des liens claires et efficaces.
De plus, on soupçonne Facebook de vouloir faire payer aux annonceurs les messages publiés sur les murs des internautes, alors autant en profiter tant qu’il est encore temps.
Pour mieux comprendre il suffit de regarder l’exemple suivant :
On voit immédiatement que grâce aux balises « Open Graph », l’image du produit est tout de suite identifiée, mais également le nom du produit, lien et la description.
Pour cela, il suffit d’insérer dans le code html de la page des balises spécifiques permettant de mieux qualifier les éléments suivants : le titre de la page, l’image et la description de la page web.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur la page facebook présentant l’ »Open Graph » : https://developers.facebook.com/docs/opengraph/
Le tracking des clics sur vos pages fans
Comme déjà expliqué, le taux de clic des annonces publiées sur une page fan est nettement supérieur à celui des facebook ads. Il est d’ailleurs encore plus élevé lorsque l’on prend en compte les personnes ayant réellement vu votre annonce. En effet, un post effectué par un annonceur sur sa page fan ne sera pas diffusé à tous ses fans, mais uniquement par une partie d’entre eux. Le nombre de clics est donc à prendre en compte par rapport aux nombre de personnes atteintes lors de la diffusion du message. Pour cela, différents outils sont disponibles, tels que bitly, SocialBakers ou AgoraPulse.
Les publicités sponsorisées ou « actualités sponsorisées »
Intrusives dirons certains, les actualités sponsorisées permettent de maximiser la diffusion de ses publicités à un maximum d’utilisateurs du réseaux sociaux. Les actualités sponsorisées ont la particularité d’apparaître dans la colonne de droite de la Timeline Facebook, et lorsqu’un utilisateur clic sur la publicité, ses amis verront le message dans leur propre fil d’actualité, ce qui apparaît comme une caution d’utilisateur. Cette technique peut donc être utiliser pour améliorer la diffusion du message à l’ensemble de la communauté proche des utilisateurs ayant cliqué sur le message publicitaire.
Conclusion :
Le taux de clic est donc très important à suivre, sur facebook comme ailleurs, pour optimiser ces campagnes publicitaires. Qui dit bon taux de clic, dit plus de bénéfices pour facebook, dit plus de diffusion et donc plus de volume pour les annonceurs. Il existe encore bien d’autres moyens d’optimiser une campagne facebook et donc en partie les taux de clic que nous continuerons d’aborder dans d’autres articles consacrés au réseau social, tout en présentant les dernières améliorations que facebook tente d’apporter à ses annonceurs. Alors à bientôt pour la suite des aventures de Facebook !